Sorbonne Confidential

Sick teachers and absent substitutes hurt learning in France

Teachers in France miss twice as many days of work as workers in the private sector.

As if that weren't bad enough, a recent confidential report commissioned by former Education Ministry Xavier Darcos revealed that substitute teachers registered even higher levels of absenteeism than the people they were meant to replace. 17.4 days a year!!

As a result, 10,000 classes currently have no teacher at all.

For the full report, read the excellent article in Le Monde entitled "Two million sick days" by Maryline Baumard.

On a personal note, I remember watching an 8th grade class self-destruct over the course of a year during which the French --and home room--teacher was absent and not replaced for over a month. During that time, the kids had "perm" (left to their own devices) with no French whatsoever. At each "conseil de classe" the other teachers and the principal complained about how dissipated and disruptive the students were. But at no point did it occur to them that abandoning the kids for over a month had anything to do with this.

School Business : the selling of academic success in France

Can children in French public schools succeed without private lessons?
 

This week's L'Express asks the question in an interesting article entitled:

Le Business de la réussite scolaire by Laurence Debril

What is the link between poor public education, money and inequality? For my own analysis regarding English teaching see L'Enseignement de l'anglais et l'inégalité en France.

Enseignants malades, remplaçants absents, 10 000 classes à l'abandon

Les enseignants sont malades. Très malades. Leur taux d'absentéisme est deux fois plus élevé que dans le privé.

Le problème?  Leurs remplaçants sont encore plus souvent absents qu'eux:  17,4 jours par an !

Ces chiffres proviennent d'une étude confidentielle commissionnée par Xavier Darcos que Le Monde s'est procurée.

Dans un article intitulé "2 millions de journées de congé maladie", Maryline Baumard nous détaille les nombreux dysfonctionnements du système de remplacements.

A lire absolument.

Seine-Saint-Denis : comment sortir du ghetto pédagogique?

Violences à répétition. Professeurs en grève. Mauvais résultats des élèves. Parents qui portent plainte contre l’Education Nationale.

 Il est difficile de prétendre que ça se passe bien en Seine-Saint-Denis.

 D’après un article dans Libération, « La Seine-Saint-Denis veut sortir du ghettos pédagogique. »

 Or :

•   « dans les collèges du département, 41,3% des professeurs ont moins de 30 % (16,8% au plan national) »
•  « les enseignants les plus expérimentés ne sont pas affectés dans les établissements accueillant les élèves en difficulté, »
•  « Ce turn-over des profs ne permet pas de constituer des équipes pédagogiques avec des projets qui s’inscrivent dans la durée »

 Tous ces problèmes sont connus depuis très longtemps. Et rien n’a été fait pour les résoudre.

 Si le gouvernement ET les syndicats des enseignants souhaitent vraiment sortir la Seine-Saint-Denis du "ghetto pédagogique", il faut commencer par la création d'une équipe stable, expérimentée et motivée sous la direction d’un proviseur habilité à la gérer.

 C'est-à-dire, pour sortir du ghetto il faut changer radicalement les règles de gestion des établissements en difficultés. 

Formation des enseignants et des personnels d'encadrement - EduSCOL

Le programme de formation croisée s'adresse aux futurs professeurs des écoles, en France et en Angleterre. Il consiste à mettre en place des partenariats entre les IUFM et les établissements anglais de formation des maîtres (Schools of Education) en vue d'organiser des échanges de professeurs stagiaires pour des séjours de formation d'une durée de quatre semaines. Ce programme de formation croisée répond à la mise en œuvre d'une nouvelle politique anglaise des langues vivantes Cette politique devrait permettre à tous les élèves du primaire d'apprendre une langue vivante étrangère, d'ici 2010. Par ailleurs, ce programme reflète la volonté française de former des maîtres habilités à enseigner une langue vivante.

via eduscol.education.fr

Mastérisation : la réforme qui change tous les jours - LeMonde.fr

Le ministère de l'éducation se déclare confiant sur l'application de la mesure à la rentrée 2010, mais de nombreux points sont en suspens. Quelles modalités pratiques précises mettre en place à la rentrée de septembre prochain pour appliquer la réforme de la formation des maîtres, dite « mastérisation » ? En particulier, comment organiser les stages dans les classes prévus pour les étudiants en master préparant un concours d'enseignement ? Et comment garantir aux lauréats des concours le tiers de temps, promis au printemps dernier, pour un « complément de formation » ? Ces questions, parmi d'autres, sont toujours en suspens au début du mois de février 2010, alors même que les contraintes de gestion de...

via www.lemonde.fr

Les séjours longs à l'étranger pendant l'année scolaire ont le vent en poupe - LeMonde.fr

Très favorable à l'apprentissage d'une langue, cette pratique possible dès le collège reste marginale et pas toujours bien vue des enseignants. Trois mois, six mois ou un an. Les séjours à l'étranger s'étirent peu à peu, perçus par les familles comme la seule façon d'apprendre une autre langue. Ce sont déjà 12 % des jeunes qui, aux dires de l'Office national de garantie des séjours et stages linguistiques, optent pour plusieurs mois. Faut-il attendre l'enseignement supérieur ou anticiper durant le lycée ? Sachant que l'année de rupture entre le secondaire et le supérieur est impossible pour tous ceux qui veulent entrer en classe préparatoire. Hugo Siaux-Facchin a 18 ans.

via www.lemonde.fr

La formation des maîtres fait figure de mauvais élève - LeMonde.fr

L'apprentissage des langues se généralise en primaire. Seul bémol, le niveau des enseignants. Si l'on s'en tient aux chiffres, les langues vivantes sont bien présentes en primaire. Moins de dix ans après le début de la généralisation de cet apprentissage, 91 % des professeurs des écoles assurent leur enseignement et 100 % des élèves en bénéficient en CE2, CM1 et CM2. En CE1, ils sont 72 %, et 31 % en CP. Mais le ministère de l'éducation nationale le promet : à la rentrée 2010, la généralisation sera achevée. Tous les écoliers du pays apprendont donc des langues étrangères en primaire, à raison de 250 heures sur cinq ans.

via www.lemonde.fr

L'enseignant de demain sera un « cyber-prof » - LeMonde.fr

Tableau numérique, clé USB, lecteur MP3... la future trousse du professeur de langue. Un premier coup d'oeil dans l'espace langue de l'IUFM de Paris suffit pour évaluer l'importance prise par les technologies de l'information et de la communication pour l'éducation (TICE) dans la formation des futurs professeurs à l'enseignement des langues étrangères : les salles sont pleines d'ordinateurs. Responsable de l'espace, Muriel Grosbois explique : « Nous utilisons les TICE comme outil de pratique ou de perfectionnement avec les professeurs des écoles stagiaires qui devront enseigner une langue sans l'avoir étudiée à l'université. Les futurs professeurs du secondaire, eux, n'ont pas de problème de connaissance.

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Mieux former l'enseignant pour améliorer le niveau de l'élève - LeMonde.fr

L'éducation nationale aurait tort de ne pas écouter les conseils, même venant du privé. Natanaël Wright, patron de Wall Street Institute, centre de formation en anglais YIl faut faire des classes de niveau pour que tout le monde progresse. Ensuite, il faut développer un Erasmus des enseignants qui permette d'avoir plus de profs de langue maternelle anglaise. A ces deux évolutions vient s'ajouter une troisième, plus impopulaire mais incontournable : le multimédia en classe. Chaque élève travaille à son niveau. Il se teste, il répète. Il ose. Une fois cette étape franchie, l'élève osera parler, et le prof sera irremplaçable.

via www.lemonde.fr