Suite à l'affaire de l'université du Sud Toulon-Var en 2009, avec des inscriptions massives d'étudiants chinois - qui représentaient le tiers des inscrits dans certains masters - et des présomptions de fraude aux diplômes, le gouvernement a publié un rapport.
Extrait d'un article du Point par Franck Renard
Une absence de stratégie doublée d'une politique de sélection conditionnée par la demande chinoise ouverte à tous les dérapages : les inspections générales de l'administration de l'Éducation nationale et de la Recherche et du ministère des Affaires étrangères mettent les pieds dans le plat. Avec un rapport commandé en décembre 2009 par Valérie Pécresse et Bernard Kouchner, consacré à la sélection et à l'accueil des étudiants chinois en France....
Des universités prennent ainsi des préinscriptions massives d'étudiants chinois, souvent peu ou pas francophones, et n'assurent aucun suivi : après quelques mois de cours de français langue étrangère (FLE), ces étudiants disparaissent et s'inscrivent ailleurs... dans le meilleur des cas. Côté ambassade de France en Chine, l'application informatique censée gérer les projets d'études des jeunes Chinois et servir d'interface avec l'université d'accueil en France ne fonctionne pas.
pour lire l'article du Point www.lepoint.fr
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