Education Minister Luc Chatel (whose background is in Marketing, PR and HR) decided to continue with the exams, even though a key text was actually exactly the kind of modern compilation real historians are supposed to be able to detect.
If they know their ancient languages, of course. And are trained historians. -- Two qualities that apparently have little to do with the agrégation d'histoire.
(Even the examiners can't distinguish a 15th from a 20th century historical text?)
It doesn't really matter, one participant explained. The agrégation d'histoire is for selecting teachers.
Seriously? But everyone who's approached within ten meters of the agrég knows at least one thing: it has nothing to do with the ability to teach either.
So what, then, is the point of the agrégation d'histoire?
Whatever it is, pas question! of getting rid of it.
20h century, 15th century. Ah, who cares... It's still the best!
Don't believe me? See:
1) "Le concours de l'agrégation sous le coup d'une erreur historique" Le Point.fr - Publié le 24/05/2011 à 17:27 "Au cours d'une épreuve d'histoire médiévale, un texte contemporain a été présenté aux candidats comme un document du XVe siècle."
2) "L'agrégation d'histoire se poursuit malgré une bourde" Le Figaro "Le texte proposé à l'épreuve d'histoire médiévale était présenté comme un journal authentique datant de 1415. C'était un texte de 1964. Le ministère estime qu'il n'y a pas matière à refaire le concours."
3) "Le concours d'agrégation d'histoire risque d'être annulé" LEMONDE.FR | 24.05.11 | 08h04 "Le blog sciences de Libération s'interroge : "Comment les deux historiennes chargées de choisir le texte du concours – Catherine Vincent (du CHSCO) etDenyse Riche (université Lyon-II) – ont-elles pu commettre cette énorme bourde ? Comment imaginer que les historiennes n'aient pas vérifié qu'il existe un'original', en latin le plus probablement "
...but it's still a tough exam :(
Posted by: Rocket French | 07 August 2011 at 01:02