Un enfant qui pleure tous les matins en allant à l’école, un autre qui se plaint d’avoir mal au ventre, un ado qui ramène de mauvaises notes et dit «qu’il s’en fiche». Souvent, derrière ces signes se cache de la souffrance scolaire, un mal assez peu reconnu en France et qui, pourtant, peut faire des ravages. Cette année, l’Association de la fondation étudiante pour la ville (Afev) a choisi de consacrer la troisième édition de la Journée du refus de l’échec scolaire qui se tient aujourd’hui, à ce phénomène encore trop souvent nié. Pourtant, selon un rapport de 2009 de l’OCDE, la France est 22e sur 25 concernant la qualité de vie à l’école, et deuxième pour le stress ressenti par les élèves, juste après le Japon…
via www.liberation.fr Par VÉRONIQUE SOULÉ
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